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mardi, 20 décembre 2016

La clef

 

 

 

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Clef de voûte dans la chapelle rayonnante de la basilique Notre-Dame de Cléry-Saint-André,
dans le Loiret, photographie : mai 2016.

 

 

 

 

 

lundi, 19 décembre 2016

Louis XI en orant

 

 

 

 

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Tombeau de Louis XI, en la basilique Notre-Dame de Cléry-Saint-André,
dans le Loiret, photographie : mai 2016.

 

 

 

Notre-Dame de Cléry-Saint-André

 

 

 

 

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La basilique Notre-Dame de Cléry-Saint-André (XIVe-XVIe s.),
dans le Loiret, photographie : mai 2016.

 

 

 

 

vendredi, 16 décembre 2016

Dernier regard sur Colombo

 

 

 

 

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À Colombo, dans la Province de l'Ouest, au Sri Lanka,
photographie : avril 2016.

 

 

 

 

Au Sri Lanka — Notes de carnet (17)

 

 

 

Lundi 25 avril 2016 (L’après-midi)

 

Le grand marché de Colombo, lui, est véritablement sri-lankais, foisonnant, odorant. J’y suis passé ; mais n’aurais-je fait que passer ?

 

***

 

Il faudrait toujours pouvoir écrire sur des terrasses désertes face à la mer ; c’est ce que je fais là. Je suis heureux, heureux ; j’ai commandé un verre d’eau et un soda mais j’ai l’impression que je bois du vent chaud ; les glaçons dans les verres fondent en un instant ; je ne fais que tracer ces mots, paresseusement, suant sous le souffle de la bouche d’un vent brûlant, à côté d’une piscine vide, sur une petite table de bois protégée par le dais d’un parasol jaune, face aux vagues lancinantes, en attendant le taxi qui me mènera jusqu’à l’aéroport – il y a des écureuils qui circulent entre les tables, et des corbeaux partout. Le ciel est d’un bleu immense. Je fume une cigarette avec le monde entier, j’exhale... Vents, vents… L’air chaud est un alcool fort – je délire un peu, c’est ainsi. C’est que je suis délirant dans la chaleur extrême du monde et son vent qui est là, avec la mer qui réfléchit… Rythme, beauté, douleur, passion, nostalgie, pensée, adoration. Je pense à l’amitié, si fragile, si inconstante parfois, je pense à tous les liens… Je pense au poème que je pourrais écrire… Ce grand hôtel, à la terrasse duquel je suis attablé, terrasse sublime face à l’Océan et traversée de ces oiseaux noirs, sonores, et où gémit ce vent qu’on dirait encore et toujours soufflé par un four ouvert sur des profondeurs, ce grand hôtel, le Galle Face Hôtel, donne sur l’Océan Indien : oh cette émotion de voir celui-ci pour la première fois et pour toujours – aussi bien il ressemble beaucoup à l’Océan Atlantique, avec sa houle violente, et lasse, et lente à la fois, mais son nom, que je connais, le métamorphose à mes yeux. Pouvoir des noms : voici cette étendue d’eau salée qui changerait presque de couleurs et se chargerait d’odeurs neuves.

 

(...)

 

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Sur la terrasse du Galle Face Hôtel, donnant sur l'Océan Indien,
à Colombo, dans la Province de l'Ouest, au Sri Lanka,
photographie : avril 2016.

 

 

 

 

jeudi, 15 décembre 2016

Le soleil qui se couche sur l'Océan Indien

 

 

 

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Vue du Galle Face Hôtel,
à Colombo, dans la Province de l'Ouest, au Sri Lanka,
photographie : avril 2016.

 

 

 

Un soir près de l'Océan Indien

 

 

 

 

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À Colombo,
dans la Province de l'Ouest, au Sri Lanka,

photographie : avril 2016.

 

 

 

mercredi, 14 décembre 2016

La jetée

 

 

 

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L'Océan Indien, à Colombo,
dans la Province de l'Ouest, au Sri Lanka,

photographie : avril 2016.

 

 

 

 

Les cerfs-volants

 

 

 

 

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La plage, à Colombo,
dans la Province de l'Ouest, au Sri Lanka,

photographie : avril 2016.

 

 

 

 

Galle Face Hôtel

 

 

 

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Le Galle Face Hôtel (1864), à Colombo, donnant sur l'Océan Indien,
dans la Province de l'Ouest, au Sri Lanka,

photographie : avril 2016.

 

 

 

 

mardi, 13 décembre 2016

Un samedi après-midi, à la brasserie Lipp (2)

 

 

 

 

Frédéric Tison, lauréat du prix Aliénor pour son livre « Le Dieu des portes » — brasserie Lipp, Paris, décembre 2016.JPG

 

 

Le poète Paul Farellier — remise du prix Aliénor de poésie à Frédéric Tison, Lipp, Paris, décembre 2016.JPG

 

Votre serviteur & Paul Farellier,
à la brasserie Lipp, le samedi 10 décembre 2016,
à l'occasion de la remise du Prix Aliénor 2016 au livre Le Dieu des portes,
photographies de Stéphane Bily,
reproduites avec l'aimable autorisation de leur auteur.

Lien vers la première photographie.
Lien vers la seconde photographie.

 

La Galerie de photographies de Stéphane Bily.

 

 

 

 

L'ancien Parlement

 

 

 

 

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  L'ancien Parlement (XIXe s.), actuellement la résidence du Secrétariat présidentiel, à Colombo,
dans la Province de l'Ouest, au Sri Lanka,

photographie : avril 2016.

 

 

 

Au détour d'une rue

 

 

 

 

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Sri Pannamba Lavaneswara, un temple hindouiste (dont j'ignore la date de construction), à Colombo,
dans la Province de l'Ouest, au Sri Lanka,

photographie : avril 2016.

 

 

 

 

lundi, 12 décembre 2016

La Maison Blanche

 

 

 

 

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L'Hôtel de Ville (La Maison Blanche) (XIXe s.), et un détail de son esplanade, à Colombo,
dans la Province de l'Ouest, au Sri Lanka,

photographies : avril 2016.

 

 

 

 

 

dimanche, 11 décembre 2016

Présentation du livre 'Le Dieu des portes', par Béatrice Marchal

 

 

Présentation du livre Le Dieu des portes de Frédéric Tison,
lauréat du Prix Aliénor 2016,
par Béatrice Marchal, Présidente du Cercle Aliénor,
à la brasserie Lipp, le samedi 10 décembre 2016.

 

 

Frédéric Tison - Le Dieu des portes - Librairie-Galerie Racine - Prix Aliénor 2016.JPG

  (Le bandeau, d'azur aux lettres d'argent, du Cercle Aliénor.)

 

 

Le titre d’abord nous interpelle, servi par la saisissante photo, en couverture, d’un regard d’ange dirigé vers l’Au-delà. Dans une Note liminaire, l’auteur explique d’emblée que « de Janus à proprement parler [le dieu romain au double visage], il ne sera pas question dans ces pages » ; mais le dieu des portes n’en reste pas moins actuel, puisque son œuvre, qui se situe essentiellement dans le temps, « est de passer – d’aller enfin », passage perçu par la présence du vent dans ces textes, aussi forte qu’insaisissable : « J’aime le vent, et chaque vent me déçoit » ; aussi « à nous de traquer à chaque instant sa présence », dit le poète qui fait sienne la devise de son aîné, Jean-Antoine Roucher, « se regarder passer ».

 

Lire la suite ici.